A Douvres, la nuit de la lecture commence à 11h pour les plus petits qui sont venus nombreux, avec leurs parents, écouter les belles ou terrrr…ibles histoires de Chantal et Josiane : une petite chanson pour ouvrir la porte des contes puis le rêve du petit pois qui est tombé par terre, les trois petits frères qui vont à la pêche sur la banquise, la petite fille Inuit qui veut trouver le soleil, petit Tom le chaton trop grand pour rester avec sa maman mais trop petit pour découvrir le monde, petit pou et petite puce et comment les oiseaux sont arrivés sur la terre.

 

 

 

 

 

De 15h à 17h, Marie-Françoise et Marie-Louise ont présenté des albums qui associent images, parfois peintures, et textes pour donner l’envie de la lecture aux plus grands enfants :  Histoires comme ça de Rudyard Kipling, La voix d’or de l’Afrique (naissance d’un enfant albinos en Afrique), Le pilote du petit Prince (qui était Saint Exupéry), Casque d’Opapi (un petit garçon qui trouve un casque de la guerre 14/18), Le bus de Rosa (histoire vraie aux États Unis),  Pierre et le Loup sous forme de bande dessinée, Cerise n°5 à lire avec les parents, Le fantôme de Canterville livre pour les grands.
Puis Romane et Alice ont fait un petit résumé de la bosse du Chameau et de quelques autres petites histoires qu’elles avaient apprises pour la visite de leurs correspondants.

 

 

De 18h à 20h, Marie-Françoise et Marie-Louise ont présenté de bons livres qui viennent de sortir, Nicole et Gérard Diet ont brillamment présenté, eux aussi, seuls ou en duo (très drôles), quelques nouveautés, des albums et des bandes dessinées.

 

Puis il a bien fallu tout le talent et l’humour de Marie-Françoise et de Marie-Louise pour nous donner envie de lire tous les romans policiers et autres livres très noirs dont elles ont parlé.

 

 

 

 

 

Au début de chaque séance, Marie-Françoise a alerté sur le fait que la Société Civile des Editeurs de Langue Française (SCELF) envisage de taxer les séances de lectures à haute voix, ce qui serait la fin, entre autres,  de journées comme celle-ci. La ministre de la culture a obtenu une suspension de cette taxe pour 5 ans mais… Il faut rester vigilant.